22.7.06



tu sais qu'il ne se passe rien l'été, les choses restent en suspens, comme dans les films de science-fiction lorsque le méchant balaie la planète de son super-rayon congelant et que la vie se fige, le vol des oiseaux s'arrête, le cours des torrents, les aiguilles des horloges et le battement des cœurs -sauf que l'immobilité se nappe d'une couche de glace et l'univers saisi s'apaise dans un silence éternel, alors que là

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

L'indisposante absence alliée à la torpeur des touffeurs.
37°, oui, mais que ce climat-ci soit celui des entrailles en dialogue.
Vivement les mois en bre.

11:17  
Anonymous Anonyme said...

J'aime décidement beaucoup ces dernières pages de l'emploi du temps. Vivement les mots en bre.

16:14  

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