12.10.06

le matin



le ciel était bleu au petit matin, la température plus fraîche que les jours précédents, un pull ou une veste était nécessaire pour se rendre jusqu'au café, il était tôt, quelques heures avant le travail, la torréfaction sentait bon le grain moulu, une odeur croustillante, grillée qui montait à la tête, enivrante, le livre était posé sur la table, auprès des clés et de l'appoint, il n'y avait personne encore, juste le patron, deux clients et la ville autour d'eux

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Le texte donne envie de respirer les sacs. Hummmm

20:34  
Anonymous Anonyme said...

ne vous en privez pas, marie
lh.

00:36  
Anonymous Anonyme said...

J'aime beaucoup ce type d'ambiance. J'apprécie votre blog beaucoup de tendresse et une belle écriture. A+

16:17  

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