17.9.06

le lierre



les souvenirs s'accrochaient cependant aux murs épais du château, tenaces comme le lierre qui en dévorait les façades

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

a l'ombre des vieilles pierres centenaires qui nous preservent de la chaleur et de la moiteur exterieure, l'horloge comtoise egrenne lentement les heures. Le tic tac régulier nous berce et nous plonge dans une lethargie reparatrice.Tandis qu'a l'exterieur la folie du monde poursuit sa course effrenée et que nous courrons tous à notre perte. le lierre pousse inexorablement et recouvre le passé

21:31  
Anonymous Anonyme said...

Euh...si c'est ce chateau là, peux tu quand même essayer de l'avoir, et on viendra en famille pour des vacances.Tiens moi au courant, que je pose mes jours.Merci.

09:50  
Anonymous Anonyme said...

on oublie le gers, alors?
lh.

20:11  

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