4.8.09

les informations



on absorbait une masse d'informations trop grande relativement au court temps passé en camargue, qu'elles fussent d'ordre visuel, sensoriel ou géographique : si les routes par exemple qui encerclaient la maison semblaient pareilles à d'autres que l'on maîtrisait celles-là, on découvrait qu'il n'en était rien et que certaines facilités que l'on avait ici ne se reproduiraient pas là, du moins pas avant que l'on n'apprivoise, la tête basse et la main tendue, une région que l'on ne (re)connaissait pas — de même avec les hommes, il faudrait un temps d'adaptation pour entendre les choses, comme on entend en espagnol : pour les comprendre

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Chic : un compte-rendu journalier !
Comme j'aimerais être avec vous...

08:14  

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