le site
y avait-il un avant et un après le site : ton travail, qui s'additionnait chaque jour au mien, savait aussi s'en affranchir pour raconter, téméraire, des histoires qui ne me regardaient pas, où il était question d'un bois et d'une bête, d'une course ou d'une lutte, de ville et de campagne, il suffisait de savoir compter pour s'y perdre, un, deux, trois et la fable était dite, glissant comme une couleuvre noire et brillante entre des lèvres closes et fidèles
4 Comments:
"Pouvoir d'un péril affranchir ce qu'on aime." Molière, la princesse d'Elide
Pour etre puceau je n'en suis pas moins homme... cachez ce sexe que je ne saurais voir...
Adaptation libre de Tartuffe de moliere
Son travail mettait à nu une jolie barbe...
@ Jean-Pierre: Emouvant. Des poils aux pétales.
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