l'ami sincère
on avait bu du vin rosé et dîné en opulence, la nourriture inhabituelle pour le soir m'avait étourdi et je m'étais allongé, juste avant que je sombre tu m'avais révélé que petit enfant, au jour dit, tu attendais les yeux brillants que l'on te souhaitât un bon ami sincère, j'avais souri en me souvenant que mon frère lui raffolait du gratin de chinois, sans doute développait-il très tôt un penchant sinophile, il répétait qu'il avait hâte d'acheter de nouveaux jouets à la poupée chinoise, on habitait nice, la poupée en question, effigie du magasin, était une figure folklorique, vêtue de mimosa et de dentelles noires, on s'y rendait à chaque ami sincère, j'avais pour ma part un penchant pour les schtroumpfs
1 Comments:
Ah le rosé... ça ne pardonne pas...
Pour avoir un ami schtroumpf, c'est inévitable, il faut se pencher, voir ramper.
Merci, c'est très .... très toi.
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