le maître à bord
le journal avance par bonds violents, il se tait pendant plusieurs jours, fait l'impasse sur des événements qui sembleraient essentiels, il ne grandit pas en se nourrissant de la vie réelle, ce sont les émotions -et combien elles se chevauchent soudain dans une orgie brutale et extrême- qui dictent les mots, je n'écris pas le journal, c'est lui qui commande
2 Comments:
Combien je comprends cette idée que les émotions dirigent et provoque l'écriture.A bientôt.
Peut-il en être autrement ?
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