anonyme
il est étonnant de voir combien votre nouvelle photographie, jeanpierre, parvient à la fois à détourner la vision que l'on a de soi-même (le reflet en quelque sorte) et à faire brillamment écho à la magnifique chanson de kate bush que vous immortalisez subtilement, vous permettant l'audace de l'ellipse d'une partie du titre pour le faire vôtre -magnifiquement "invisible"
votre invisibilité justement (car c'est à vous, n'est-ce-pas, qu'appartiennent ces splendides chaussures?) s'efface le temps de ce post sobre et cultivé, votre invisibilité gomme, l'espace d'un instant, l'omniprésence égocentrique (quoique anatomiquement parfaite, comprenez-moi bien) de l'auteur qui vous accompagne quotidiennement dans la création -j'ose vous demander : dans la vie également?
votre emploi du temps, depuis ce jour béni de février 2006 où vous commençâtes, est devenu aussi le mien
pour cela (et en attendant/espérant? davantage), mes sincères remerciements
votre invisibilité justement (car c'est à vous, n'est-ce-pas, qu'appartiennent ces splendides chaussures?) s'efface le temps de ce post sobre et cultivé, votre invisibilité gomme, l'espace d'un instant, l'omniprésence égocentrique (quoique anatomiquement parfaite, comprenez-moi bien) de l'auteur qui vous accompagne quotidiennement dans la création -j'ose vous demander : dans la vie également?
votre emploi du temps, depuis ce jour béni de février 2006 où vous commençâtes, est devenu aussi le mien
pour cela (et en attendant/espérant? davantage), mes sincères remerciements
3 Comments:
Si je peux me permettre de complimenter le photographe également. D'autant qu'il serait important de signaler à votre aimable lectorat que le montage texte/photo repose sur un principe aléatoire. Ce qui rend plus étonnant encore la rencontre des deux : une fusion dont l'origine est accidentelle.
je ne voudrais pas répondre pour le photographe -absent- mais qui complètera si besoin
le principe aléatoire n'est pas une règle, sandrine, il s'est manifesté à plusieurs reprises, nos pensées mutuelles sans doute influencées par un événement commun naviguant qui vers un texte, qui vers une image, et se rejoignant sur la note sans que nous ayons communiqué auparavant, nous surprenant nous-mêmes
la teneur de nos emplois du temps respectifs oblige à une chronologie de l'idée : j'écris un texte le premier, ou bien jeanpierre choisit une image, et l'autre réagit en fonction -ou ne réagit pas, et nous ne nous rencontrons alors pas sur la note, mais sur l'ensemble des notes, en écho d'une entrée à la suivante (ou à la précédente)
que notre aimable lectoral n'hésite pas à me demander des précisions si je n'ai pas été clair ;-)
lh.
une précision immédiate suite à ma relecture : quand je dis "jeanpierre choisit une image", c'est bien entendu au sein de sa propre photothèque (la photographie ayant des contraintes, notamment extérieures, que l'écriture n'a pas)
lh.
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